jeudi 23 avril 2020

Culture : Un 23 avril 1994 , Paul Biya faisait de Chantal Biya la première dame du Cameroun

26 ans deja que Paul Biya se réveille aux côtés de  Chantal Biya , en ce jour anniversaire du mariage présidentiel .Partageons ce texte du Directeur adjoint du cabinet civil à la présidence de la République .






Par
OSWALD BABOKE, Directeur adjoint du Cabinet Civil...

Le message qu'il adresse à la nation le soir de la Saint-Sylvestre 1993 laisse apparaître un Président de la République fringant d'allégresse. On n'a aucune peine à imaginer que la flèche de Cupidon vient de transpercer son coeur. Le veuf paraît neuf. L'on sait PAUL BIYA compliqué, lui qui maitrise les dangers de la passion sur l'action. En fait, il quête la vertu maternelle dans les femmes qui l'approchent ou qu'il aborde. PAUL BIYA est recherche l'amour, le vrai, le bon, le pur. Il a les atouts. Il est beau. Il est bienséant. Le <<Joli monsieur>> est courtois et courtisé. Il est instruit, s'est construit et a construit. Il ne lui manque qu'une seule corde à son arc, UNE FEMME !

CHANTAL VIGOUROUX est une belle métisse que le gentleman- président  courtise avec beaucoup de bonheur. Elle est étincelante, tendre, maternelle, affectueuse, pieuse , franche, sincère, naturelle. PAUL a de quoi tomber sans glisser. D'un trait, le félin est apprivoisé. Qui l'eût cru ? Voilà PAUL BIYA pris au piège de l'amour. En face, CHANTAL PULCHÉRIE est belle comme une allégorie, brave comme une métaphore, courageuse comme une parenthèse. Plus tard, elle se révèle féconde comme Aphrodite, et protectrice comme Astarté, la déesse grecque de l'amour. Pénélope a su trouver Ulysse.
Le mariage se déroule le 23 Avril 1994. Serti d'une bure de piété et d'humilité, l'abbé Jean-Baptiste Amie conduit l'eucharistie qui scelle l'union nuptiale entre les deux tourtereaux. C'est un euphémisme de dire que l'amour illumine le couple. PAUL aime CHANTAL. CHANTAL l'aime. Aimer, c'est renaître, tel un phénix. C'est revivre. L'amour vivifie, il revigore psychologiquement, politiquement (...).

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